Soirée à Tournai en Belgique

Catégories : REEL FESSESTIVITES Femmes soumises SM camisole
il y a 12 ans

Maître m’invite pour une soirée chez des amis BDSM ; à Tournai en Belgique.

Pour la route, je me m’habille d’un short et un polo noirs. Un passage par la gare de Tournai afin de récupérer Era. Maître et Maîtresse nous rejoignent, Era et moi-même les saluons et nous arrivons ensemble au rendez vous fixé. Nous sommes accueillis par le maître des lieux qui est un soumis. Les invités arrivent. Nous sommes 4 soumis pour 4 Maîtres et Maîtresses.

Je m’habille comme Maître me l’a ordonné, c'est-à-dire une jupe noire et un tee shirt noir, les sous vêtements sont assortis aux habits. Maître m’autorise de ne pas porter les bas, car il fait trop chaud. Maître me met au service. Lorsque Maître soulève la jupe : « Tu as mis un string, je suis déçu ».

Il me met au service. Je prépare les amuse-gueules avec l’aide de Era et du soumis. Nous passons à l’apéro. Il fait chaud, malgré les nombreux ventilateurs, Maître transpire, me demande de l’éponger. Je lui demande si je peux enlever mon tee shirt, car j’ai chaud aussi.

« Non ».

J’essaie de me trouver un coin frais, je m’installe prés de la porte d’entrée, j’ai un peu d’air. Mais un peu éloignée du groupe. Maître présente Era et moi-même, dit, que je suis punie et que je souhaiterais être dominée par une femme. Une bonne occasion. J’ai un pincement au cœur, Je suis là, éloignée du groupe, je me sens exclue, j’ai un pincement au cœur. Je sens des larmes qui coulent, mais disparaissent rapidement. Maître me confie à une maîtresse.

Elle me place un collier, des bracelets aux poignets, et m’attache, les fesses faces à elles. Je suis cravatée, fouettée, fessée, cannée, cela passe des moments lents, rapide, un peu de caresse puis un rythme soutenu. Je bouge, je cris, je ris, je pleure, quand cela cesse, je suis essoufflée, j’ai chaud, je reprends la pose à sa demande. Puis une nouvelle salve de martinet, de fouet, de canne, de cravache une dans chaque main.

Ca claque, je bouge, Dame Johanna me demande de reprendre la position. Elle me fait compter les coups lorsque ceux-ci sont fortement très serrés et très rapides. J’essaie de ne pas me tromper dans le comptage, ni de louper un coup sinon elle reprend à zéro « mes pauvres fesses déjà bien martyrisées »

Maître regarde de loin. Mes fesses sont rouges pourpre, déjà bien marquées, la soirée ne fait que de commencer. Puis Maître m’installe de face, malaxe mes tétons avec ses doigts et les pince avec un porte jupe puis de sa douceur d’homme, les fouette, comme je cris, Maître me serre une cravache entre les dents, et recommence à me fouetter, à plusieurs reprise, la cravache tombe. Maître n’est pas content, pour se venger, il me cravache entre les cuisses, 5 coups de chaque côté, je n’en peux plus, amorphe, mal à la tête, soif. Il me fait boire à la bouteille, puis retourne s’assoir. Je suis attachée, cravache entre les dents, isolée du groupe.

C’est autour de Dame Johanna de s’occuper de cette poitrine, m’enlève le porte jupe, me masse les seins, les têtons, et les fouette, et tant qu’à faire les coups partent un peu partout sur le corps. « Je me demande quand cela cessera ». Puis elle replaçe le porte jupe, « C’est ton Maître qui l’enlèvera ». . En effet, Maître arrive vers moi, « Qu’en penses tu de cette domination par une femme, c’est ce que tu voulais ? ». Je ne sais quoi répondre car sur le coup, je suis amorphe, je n’en peux plus. Maître me retire le porte jupe, un côté à la fois puis masse les têtons. Enfin, je suis libéré. Je peux m’asseoir sur les coussins.

Cette pose est de courte durée car Dame Johanna me fit exécuter quelques ordres, lécher par terre, embrasser les pieds de mon Maître, débarrasser la table, que je fis en protestant, mais elle n’hésita pas à me rappeler ma situation de soumise.

Elle me prit la main et me m’allongea sur une table basse. Elle carrossa, pinça, mordilla, les seins. Puis j’ai eu le droit à la bougie. Comme je réagissais, Maître arriva prés de moi :

  • « La bougie, tu connais, je ne veux pas d’entendre »
  • Oui, Maître ». Je serrai les dents pour ne pas crier.

Une nouvelle pause pour le dessert. Puis c’est Maîtresse, qui me prend en charge, elle m’a promis les aiguilles.

J’ai peur, le souvenir d’une prise de san g, me revient. J’ai très peur, mais elle donne sa main et je la prends avec anxiété, elle me guide, je m’installe sur le lit, bien allongée, mes dents se desserrent, je me détends. Je ferme les yeux, je compte les aiguilles dans ma tête.

5 sur un sein, je n’ai presque rien senti juste une petite piqure, 5 sur l’autre. 10 aiguilles sur mes seins, « Maîtresse arrête, pourtant elle m’en a promis 14 ; Bizarre » me dis je

Maîtresse appelle Maître pour qu’il vienne voir, « Mais elle n’en pas 14 », je voulais que tu viennes voir avant de finir. Zut, je les aurais les 14, mais bon après tout, elle a promis faut aller jusqu’au bout.

Voilà les 14 aiguilles sont mises. Je les garde quelques instants. Maintenant, il faut les enlever, Maîtresse et Dame Johanna ont tout deux envie de les ôter.

Choix difficile pour moi en effet, la pseudo afin de la remercier pour cette soirée. Maîtresse, c’est la punition qu’elle m’a attribué, Maîtresse doit aller jusqu’au bout.

J’hésite,

Maitresse, je la connais, en plus elle me la posées, je pense qu’elle doit aller jusqu’au bout

Par contre, Dame Johanna, je ne connais pas très bien, mais elle s’est occupée de moi à la soirée. Je finis par départager. Chacune enlève les aiguilles d’un sein.

Je les remercie. Une épreuve de passée.

La soirée se poursuit, Dame Johanna s’occupe de moi, s’installe sur un fauteuil, et me demande de me placer entre ses jambes. Elle s’occupe de mes seins. Un moment de douceur, de tendresse, avec une petite pointe de douleurs lorsqu’elle produit des pichenettes sur les seins ou qu’elle les mordille ou encore quand elle tire dessus, place un bambou sur le têtons et le tourne en appuyant bien fort dessus.

Il se fait tard, les soumis débarrassent la table, rangent la salle, chacun se dit au revoir et à une prochaine fois.

Quand un Maître vous invite pour une soirée chez des amis BDSM, il faut s'attendre effectivement à ce qu'il effleure les limites
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